Emmanuelle0 a écrit:Et bien moi je suis intransigeante sur le point que s'il veut donner des conseils, il peut très bien le faire dans son bureau ou le mien et se contentera de les faires dans ces lieux là.
Je n'entrave absolument pas son travail qui est de conseiller au besoin, et il peut le faire, et j'exige qu'il le fasse à moi avant d'ennuyer mon pôle économique.
Vous dites avoir toute confiance envers lui, moi pas et il le prouve chaque jour, car chaque jour il baffoue les demandes que j'ai faite, soit en intervenant soit en envoyant un tiers sortie de nul part pour faire passer ses messages au mépris de mes demandes encore une fois.
Un officier royal peut donc à se point mettre le bazar dans un conseil sans qu'il ne soit remis à sa place par la hiérarchie ?
S'il avait accepté les limites que je lui donne depuis le début, on n'en serait pas là. Tout serait calme et serein.
Mais non !
Et vous continuez à le défendre ????
Quoi qu'il en soit, vous avez résumé une chose avec cette phrase là. Je suis comtesse et seule décisionnaire au sein de mon conseil. Aussi, et parce que je joue de transparence et de respect envers vous. Je demande encore une fois que soient respectés mes demandes par l'officier royal que vous m'avez imposé contre ma volonté car il est un opposant politique, et l'ancien comte.
Et qu'il soit bien clair que ce que je demande NE VA PAS à l'encontre de son travail. J'ai connu bien des intendants des finances royales qui se contentaient de communiquer dans leur bureau et ils faisaient un travail excellent.
Aussi, l'excès de zèle d'Arckus n'est qu'une provocation et c'est inacceptable. Si pour vous ça n'est pas grave, alors vous avez bien peu de considération pour les feudataires du domaine de Sa Majesté.
Quoi qu'il en soit si cela perdure, il perdra ses accès et j'assumerais la colère du roi, tant pis. Mais j'en ai soupé que vous accordiez plus de crédit au comte sortant qu'à celle qui règne aujourd'hui.
Sur ce, ce débat qui tourne effectivement en rond est clos pour moi. Au Surintendant de recadrer son officier royal, moi j'ai autre chose à faire que de répondre à ses provoc à deux deniers.
Wayllander a écrit:Hausse un sourcil.
-Ne transformez point mes propos, Comtesse. J'ai dit que vous étiez décisionnaire en votre conseil. Pas la seule. En tout point, à tout moment, vous vous devez de respecter les décisions royales, et les textes royaux. Ceux-là même qui édictent que l'intendant est tenu de conseiller économiquement la province dont il a la gestion. Ce n'est donc pas un excès de zèle que d'intervenir sur un débat aussi important que celui sur les mines. Il ne va pas parler tout seul dans son bureau. Vous souhaitez qu'il échange avec vous avant "d'ennuyer" vos conseillers. Cela est certainement possible. Mais consultez-le, à ce moment là. Si vous souhaitez que cela se fasse uniquement dans votre bureau, c'est sans doute possible aussi. Il n'a pas de raison de refuser tant que cela lui permet de remplir pleinement ses fonctions. Mais vous n'avez rien à exiger, de lui, et encore moins du Surintendant ou de moi.
Je répète en outre que si les interventions sont déplacées, elles ne seront pas tolérées. Les officiers royaux sont soumis à des règles très strictes dans leur collaboration avec les provinces. Je serais d'ailleurs curieux de savoir quel est précisément le "bazar" ou les "provocations" que vous évoquez. Le Surintendant, qui a accès à votre conseil, n'a il me semble rien repéré qui s'en approche. Je puis apporter un second regard le cas échéant.
Puis, à la fin de son laïus.
-Retirez lui ses accès de votre propre chef, et vous goûterez en effet la colère du Roy. Ne point vouloir de fief de retraite ne vous met nullement à l'abri de son courroux, Votre Grandeur. Ce n'est pas une menace ; c'est une promesse.
Mais j'ai envie de croire que nous n'aurons point à en arriver à de telles extrémités.
Melissandre_malemort a écrit:Manifestement, il est impossible à la comtesse et à Arckus de travailler ensemble pour l'instant. Ce ne serait pas un désaveux que de demander à un autre officier d'intervenir, ne serait ce que pour quelques jours.
Ou alors, il faut que quelqu'un de neutre en juge sur place et compulse les minutes. Si l'intendant exagère, il sera aisé de le voir et de décider quoi faire.
Emmanuelle0 a écrit:Si vous voulez continuer à tourner en rond, allons-y.
Je n'ai de cesse de décrire ses provocations. C'est bon, vous ne les écoutez pas, je laisse tomber.
Je n'ai pas à aller demander conseil à l'intendant des finances, je ne vois pas en quoi je suis dans l'obligation de le faire. J'ai assez d'expérience et mes conseillers aussi pour savoir prendre les bonnes décisions. Si ce qu'on décide le chafouine, qu'il vienne m'en parler en mon bureau. Il a visibilité sur ce qu'il se passe au pôle éco, donc, dans le RESPECT de MA manière de fonctionner, voilà ce qu'il devrait faire.
Mais non, vous exigez que je fasse comme LUI il veut.
Eh bien non ! Je ne le ferais pas.
Quant à votre... promesse... je ne suis pas un lapin qui vient de naître, et surtout je suis fidèle au roi. Il a exigé qu'il ait accès au conseil, il l'a et le gardera.
Continuez donc à soutenir un officier royal face un feudataire, vraiment, c'est très très appréciable, et on voit à quel point, oui, nous avons cette possibilité de régner sans ingérence abusive.
Je ne réclame rien d'extraordinaire.
Je demande JUSTE à ce que l'Intendant des Finances Royales n'intervene QUE dans son bureau ou le mien.
Point.
Fou comme cette simple demande met le bazar.
Et pourquoi la SE ne pourrait-elle pas faire de même d'ailleurs ? Soyons fou, allez, qu'elle intervienne dans tous les débats. Après tout, elle est officier royale elle aussi, alors pourquoi pas ? Ils savent apparemment mieux que nous, comment un conseil et une province fonctionne.
Sur ce, j'ai besoin de prendre l'air là. Parce que moi les menaces à peine voilées, ça a tendance à me filer la nausée. Si vous n'avez que ça pour faire plier vos feudataires... c'est franchement triste.
Melissandre_malemort a écrit:Mélissandre leva deux mains apaisantes.
- Nous allons laisser sa Majesté consulter les minutes et décider si ingérence il y a. En attendant, laissons la discussion en suspend.